À propos de l'artiste

Stéphanie Lucie-Mathern, née en 1985,  a été primée par la Société des Amis des Arts et des Musées de Strasbourg avec le prix Théophile Schuler. 

"L’art a cette dimension sacrée, il faut puiser dans ses mythes (du moine copiste à la rock star) car « le spontané de l’homme c’est sa culture » disait Barthes. Il y a des siècles d’histoire dans un geste, et c’est à nous d’accommoder les restes. C’est en se confrontant à la matière et en intégrant la présence de la mort (à l’eau de rose) qu’on s’inscrit dans le monde avec intensité. L’expressionnisme est brutal comme la vérité. A l’intact, j’ai toujours préféré le tranchant. Et ce tranchant je le veux ambigu. »

Sa carrière est définie par une peinture radicale. Celle d'un nihilisme en forme de signe de croix à Berlin, l'héritage du pouvoir en Suisse, le crépuscule, la prostitution et l'Opinel au carrefour de l'Europe, les vanités à la colline inspirée, l'adoubement de Robert Combas aux Sables d'Olonne, la solitude des jours dans une cité médiévale, mais aussi l'investissement d'un souterrain de théâtre en Géorgie.

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